Est-on vraiment jamais suffisamment prêt pour ce genre d’évènements ? Sûrement pas. J’apercevais ces derniers jours avec dépit des échanges entre contacts distants sur Facebook, blâmant l’inaccessibilité de certaines rues parisiennes à cause d’une « simple course ». Le must étant l’utilisation du qualificatif « bobo » pour qualifier l’ensemble des coureurs, sans distinction. Au diable l’intolérance et surtout, l’ignorance. Pour avoir plusieurs fois fait venir des très proches m’encourager à l’arrivée d’une course, Dieu sait si leur perception de la course à pied a évolué à force de rassemblements. Mon père me disait encore aujourd’hui, à l’arrivée du Marathon de Paris 2014, à quel point ce genre de course méritait que l’on vienne se poser à l’arrivée pour regarder chaque personne franchir le finish, du début jusqu’à la fin. Que de disparités, que d’hétérogénéité dans cette masse de dizaine de milliers d’hommes et femmes venus se mettre à nu dans l’effort. Oui, car Read more